La ville et le chat

La ville des Bipèdes

L

e jeune mâle regarda un instant la grande ville qui se dressait devant lui avec appréhension. Combien de temps pour traverser ? Y a t-il des chats solitaires ici ? Pourront-il l'aider ? Il voyait les montagnes, il savait donc où aller.
Brr, traverser une ville qui pue le bipède ! La puanteur était partout, d'ailleurs, tout sentait mauvais. La vie devait être si triste ici !
Larme avança avec un peu de crainte. Il fallait dormir, il avait voyagé toute la journée. Mais surtout, il avait faim... il n'allait pas fouiller dans les boîtes vertes foncé des bipèdes ! Ça sentait bien le rat, mais si il tombait sur tout un groupe ? Le matou décida de fouiller dans les ordures en fronçant le nez, il en était arrivé là... Il trouva un poisson presque pas entamé mais qui était tout de même bien odorant. Il prit des papiers avec des inscriptions noires et des bipèdes en noir et blanc immobiles et très petits, ils étaient comme emprisonné sur cette fine couche blanche. Larme fit sa toilette, il ne voulait pas ressembler à un chat de gouttière ! Il avait sa fierté. Aller ! Plus qu'un obstacle pour la délivrance.
Le soleil flambant se levait sur la ville, éclairant la moitié droite du visage du chat. Ce dernier ouvrit les yeux pour les tourner vers la rue. Il devait avance, et suivre la direction du soleil levant.
Les pattes engourdies par une mauvaise nuit, les yeux rouges de pollution [poooooollution ! jeeeeeeeeeeeeeeee dis non! maiiiiis à la vie ! jeeeeeeeeee dis oui... #référenceauxinconnus, hum, pardon], Larme aperçut un chat blanc couvert de poussière. Trop sale pour être un chat domestique, assez fier pour être un chat errant. Notre ami s'avança vers le matou couleur neige (une neige sale) et lança d'un air supérieur:

- Salutation ! Je me nomme Larme et je viens des clans de la forêt, non bien loin d'ici. Je suis parti pour une raison personnelle. Mais là n'est pas me demande, je voudrais un guide pour m'aider à mon voyage vers les montagnes, serais-tu assez aimable pour m'aider à traverser ce nid à bipèdes ?

Le chat blanc cassé le regarda un moment puis lui répondit:

- Moi c'est Sam, je suis un chat errant j'ai déjà vu des chats comme toi au paravent et je sais où tu vas. C'est par là, je vais t'accompagner.

Des heures de, marches pour arriver devant elle, la montagne. Enfin ! Il était enfin arrivé !

en cours...

GALLINEA