- caractère - Elle n'est pas naïve, notre petite minette. Au contraire. Il sera difficile pour vous de la manipuler pour quoi que ce soit: elle réfléchit non pas une, ni deux fois avant d'agir, mais bien dix. "Je le fais ou je le fais pas?" Elle retourne toutes les questions que vous lui poserez dix fois dans sa tête avant de vous répondre. Au moins, elle est sûre de bien répondre, et, parfois, de ne pas faire de gaffe. Mais cela ne lui enlève pas son honnêteté, qui est, disons-le, bien là. Mentir, pour elle, n'existe pas, tout simplement. Et c'est mieux comme ça. Mais, soyons honnêtes, nous aussi, disons-le: son honnêteté la perdra. Mais bon, elle garde sa malignité, elle n'est pas bête, et elle le sait. C'est sûrement son atout majeur, mais, n'aimant pas se mettre en avant, elle répète être bête et nulle.
Soit. Pourquoi pas.
La jeune guerrière est gentille. Très gentille. Et elle déteste voir des personnes seules, ou mal, alors elle ira probablement leur parler, tout simplement. Sauf qu'elle parle beaucoup, Espérance de Minuit. Et que vous pouvez bien vite en avoir marre, qu'elle parle autant. Et oui. Mais elle en reste un bonne amie, généreuse et sur qui ont peut compter, même dans les pires moments.

- histoire - Vous savez, tout le monde n'a pas de parents qui vous aiment, qui vous chouchoutent et qui vous réconfortent quand vous allez mal. Bah moi, j'avais ceux-là! Cependant, mon amour pour eux, malgré qu'ils ne me le renvoyaient pas, était ceux d'une fille envers ses parents. J'étais d'une portée de trois chatons, en plein été, il paraît que c'était magnifique, que les pétales des fleurs volaient avec le vent, et que le soleil illuminait la forêt. Malheureusement, malgré ce jour qui semblait si heureux, mes deux frères moururent à la naissance, je ne sais pourquoi. Le chef m'avait alors appelé Petite Espérance, tandis que mes parents rejetaient la faute sur moi. Ils me disaient une démone venue leur arracher ceux qu'ils aimaient le plus. Je leur en veux, vous savez, mais cela ne sert à rien, cela ne changera rien, donc je fais comme si ce n'était pas le cas. Je les aime quand même, depuis chatonne, alors je les traite comme si eux m'aimaient en retour.
Petite, j'étais assez naïve et ne comprenait pas la raison de leur froideur, mais j'étais déjà joyeuse tout le temps, je rigolais souvent et je m'amusais avec les autres chatons. Je n'avais aucun mal de m'intégrer, j'étais sociable et je pense que les autres chatons ne me détestais pas. En fait, je pense qu'on était même bons amis.
Je pense, hein.

Apprentie, je sautillais comme un folle en sortant pour la première fois du camp. Je sentais tout: l'odeur des arbres de la pinède, des épines sur le sol, du gibier autour de nous, et j'entendis les oiseaux chanter. C'était magnifique. Mon mentor était un guerrier, fort, il n'avait rien à envier des autres. Je le respectais, et l'admirais. Tout au long de mon apprentissage, il m'a donné confiance en moi, m'a aidée, et m'a encouragée. Chose que mes parents n'avaient jamais fait. Plusieurs lunes après, je m'entraînais encore, pourtant j'arrivais bientôt à mes treize lunes, et j'en avais marre de devoir faire encore les corvées d'apprenti. Je voulais être une guerrière. Je compris bien assez vite que ma mère ne voulait pas que je le devienne, et retardait mon évaluation finale alors que j'étais fin prête.
Je dus alors attendre jusqu'à mes quatorze lunes.

Enfin je devins guerrière sous le non d'Espérance de Minuit, ma mère me foudroyait du regard alors que les autres acclamaient mon nouveau nom; cependant, je ne pouvais que la regarder avec un sourire, et un air de fierté. Malgré le fait qu'elle ne m'aime pas, ou en tous cas qu'elle paraissait ne pas m'aimer, je voyais, et elle pouvait dire le contraire, je le savais, une lueur de joie ou de fierté dans son regard.

Plusieurs lunes passèrent, ma vie continue normalement, je n'ai pas une histoire bien passionnante, et elle n'est pas vraiment intéressante non plus, donc je ne me suis pas attardée sur les détails de ma vie. C'est juste moi. Mon futur, quant à lui, c'est à vous de m'aider à le construire.

{free!}- Mère - Une guerrière de l'Ombre; elle m'a toujours accusée d'être le diable et d'avoir tué mes deux frères à la naissance, alors que mes paupières étaient encore closes. Je l'aime, car elle reste ma mère, mais elle ne m'aime pas, ou, en tous cas, fait au moins semblant de ne pas m'aimer. Je continue encore et toujours d'essayer qu'elle m'aime, et je suis sûre, qu'au fond, elle est fière de moi. Même si elle le cache.

{free!}- Père - Il a toujours été plus gentil que ma mère, et, de peur de la contrarier, ne s'est jamais vraiment répproché de moi. Néanmoins, avec lui, je suis sûre que son amour pour moi existe, et qu'il est fier de moi, car il ne pense pas une seule seconde que je suis un diable.

{free!}- Ancien mentor - Il a remplacé les parents que je n'avais jamais eu, et a toujours fait ce qu'ils auraient dû faire: m'encourager, m'aider, être fier de moi. Je le considère plus comme un père qu'autre chose, même si je sais qui est mon père.

{free!}- Compagnon - Que dire de lui? Il m'a acceptée comme je suis, malgré mon caractère parfois embêtant, et ne s'en plaint pas. On s'aime, c'est tout.

{free!}- Meilleure Amie - On s'est tout de suite rapprochée, on s'est tout de suite appréciée. Elle est comme une sœur que je n'ai jamais eue... Je sais que je peux content sur elle.

{free!}- Confident(e) - Pas aussi important à mes yeux que ma meilleure amie ou mon compagnon, j'arrive quand même à tout lui dire. Il/elle sait garder mes secrets, et vice-versa.

{free!}- Amis - Je vous apprécie, je vous fais confiance et je reste avec vous, mais je ne suis pas spécialement très proche de vous.

{free!}- Ennemis - Pour une mystérieuse raisopn, vous vous amusez à m'embêter sans cesse, à me pourrir la vie.


{free!}- Connaissance - Qu'elles soient positives ou négatives, je vous classe sûrement dans cette catégorie car nous nous sommes juste croisés à une Assemblée ou sur un frontière. Je ne vous connais pas bien, mais assez que pour savoir si je vous aimerai... Ou pas.

{free!}- Autres! - Parce que je n'ai pas souvent d'idées, je vous laisse proposer des liens aussi farfelus (ou pas) que vous voulez, j'accepte tout! 8B ('fin ça dépend quand même 8) )

Prénom Nom

Maior pars mortalium, Pauline, de naturae malignitate conqueritur, quod in exiguum aeui gignimur, quod haec tam uelociter, tam rapide dati nobis temporis spatia decurrant, adeo ut exceptis admodum paucis ceteros in ipso uitae apparatu uita destituat. Nec huic publico, ut opinantur, malo turba tantum et imprudens uulgus ingemuit; clarorum quoque uirorum hic affectus querellas euocauit. Inde illa maximi medicorum exclamatio est: "uitam breuem esse, longam artem". Inde Aristotelis cum rerum natura exigentis minime conueniens sapienti uiro lis: "aetatis illam animalibus tantum indulsisse, ut quina aut dena saecula educerent, homini in tam multa ac magna genito tanto citeriorem terminum stare." Non exiguum temporis habemus, sed multum perdidimus. Satis longa uita et in maximarum rerum consummationem large data est, si tota bene collocaretur; sed ubi per luxum ac neglegentiam diffluit, ubi nulli bonae rei impenditur, ultima demum necessitate cogente, quam ire non intelleximus transisse sentimus. Ita est: non accipimus breuem uitam sed fecimus, nec inopes eius sed prodigi sumus. Sicut amplae et regiae opes, ubi ad malum dominum peruenerunt, momento dissipantur, at quamuis modicae, si bono custodi traditae sunt, usu crescunt: ita aetas nostra bene disponenti multum patet. Quid de rerum natura querimur? Illa se benigne gessit: uita, si uti scias, longa est.

Prénom Nom

Maior pars mortalium, Pauline, de naturae malignitate conqueritur, quod in exiguum aeui gignimur, quod haec tam uelociter, tam rapide dati nobis temporis spatia decurrant, adeo ut exceptis admodum paucis ceteros in ipso uitae apparatu uita destituat. Nec huic publico, ut opinantur, malo turba tantum et imprudens uulgus ingemuit; clarorum quoque uirorum hic affectus querellas euocauit. Inde illa maximi medicorum exclamatio est: "uitam breuem esse, longam artem". Inde Aristotelis cum rerum natura exigentis minime conueniens sapienti uiro lis: "aetatis illam animalibus tantum indulsisse, ut quina aut dena saecula educerent, homini in tam multa ac magna genito tanto citeriorem terminum stare." Non exiguum temporis habemus, sed multum perdidimus. Satis longa uita et in maximarum rerum consummationem large data est, si tota bene collocaretur; sed ubi per luxum ac neglegentiam diffluit, ubi nulli bonae rei impenditur, ultima demum necessitate cogente, quam ire non intelleximus transisse sentimus. Ita est: non accipimus breuem uitam sed fecimus, nec inopes eius sed prodigi sumus. Sicut amplae et regiae opes, ubi ad malum dominum peruenerunt, momento dissipantur, at quamuis modicae, si bono custodi traditae sunt, usu crescunt: ita aetas nostra bene disponenti multum patet. Quid de rerum natura querimur? Illa se benigne gessit: uita, si uti scias, longa est.