Patte de Satin

Un cris perçant déchira la nuit. Dans la tanière du guerisseure, une jeune chatte était entrein de maître à bas. Le sol était couvers de sang, un sang pâle, qui se mélangait à la terre pour former une boue écarlate. Malgré tout les remède que la guerrisseuse donnait à la futur mère, celle-ci continuait à poussait des cris de douleurs, et à se contorsionner pas terre, tordue patr la douleur. Le jeune mâle, et futur père, qui observait la scène depuis un bout de temps, s'approcha de sa compagne et lui lécha le museau en lui murmurant de douces paroles. La jeune chatte sessa de se tordre de douleure, et sera les crocs pour retenir ses cris. Elle se concetra sur son fils, qui était entrein de naître. Elle n'avait pas le droit de le laisser mourir. Son compagons coutinua de la rasurer, pendant que la guerrisseuse lui apporta des graines de pavot. Ils continuèrent leur travaille, et bientôt, une minuscule ta rousse et blanche apparue sur le sol écarlate. Le chaton était née. Il était vivant. Le père du chaton l'attrapa par la peau du cou, et le posab devant sa mère, qui se mit à le lécher. Son pelage devint de plus en plus claire, au fur et à mesure que le sang partait. Le petit chaton poussa un petit cris plaintif, et se coucha contre sa mère. Celle-ci tenta de se relever, mais ses forces l'avait abandonée pendant l'accouchement. Lentement, ses yeux se fermèrent. Elle résista contre la fatigue, en vain. Le guerrier s'approcha de sa compagne et cria.

-``Non, Coeur de Flamme, ne me laisse pas! Non, non...''

Mais ses plainte ne servirent à rien. La jeune femelle ouvrit les lèvres une dernière fois, et lui dit.

-`` Prend soin de notre fils, Nei...Neige d'été. Appelle le Patte de Satin.''

Le père, ne voulant pas laisser sa compagne mourir lui lécha le front et lui dit, les larmes coulant abondamant de ses yeux.

-``Tu vas guérire, ne pars pas. Tu doit t'occuper de ton fils. Sil te plait, ne me laisse pas seul, j'ai besoin de toi..''

Mais il était trop tard. La jeune femelle laissa échaper un dernier soupir. Pour ferma les yeux, pour toujours. Le guerrier laissa couler ses larmes. Il s'approcha de son fils, et lui dit.

-``Viens, il est temps de dormir, Patte de Satin.''


Un jeune chaton courait dans le camp. Il sautait sur des enemmis invisibles, qu'il terassait d'un coup de patte, avant de repartir à l'assaut. Il fut soudain coupé dans son élan, par un chaton de son âge, qui lui avait donné un coup de tête dans le flanc. Le jeune chat roula dans la pousière, jusqu'a se cogner contre un autre chat, de la même couleur que son assaillant. Il se releva lentment, retenant ses larmes. Le chaton qui l'avait poussé lui cracha.

-``Tu aura pu me voir, Patté. A, mais j'oubliait, tu est aveugle.''

Le surnommer patté, dont les larmes devenaient de plus en plus dur à contenir, répliqua.

-``Je ne m'appele pas patté, je suis Patte de Satin. Et arreter de m'embêter, c'est pas ma faute si je suis aveugle.''

Tout en disant cela, Patte de Satin avait prit une position de combat, prêt à sauter sur l'autre chaton, si il répliquait. Mais le deuxième chat, contre lequelle avait atteris Patte de Satin, lui sauta dessus et l'imobilisa. Il lui dit.

-``Même si c'est pas ta faute, t'es pas comme nous. t'a rien à faire dans notre clan. Nous, ou sera des vrai guerruer, alors que toi, ils te mettrons avec les anciens, quand tu aura 6 lunes. Sa serre à rien de t'entrainer, puisque tu servira à rien. Dans le clans de l'ombre, il n'y à pas de place pour les nuls.''

Du haut de ses 5 cinq lunes, Patte de satin n'avait jamais versé une larmes, pour les insultes des autres chatons. Son père lui avait souvent dit que sa mère avait était quelqu'un de très courageux, et il voulait lui ressemblait. Il voulait devenir un guerrier puissant, malgrè son infirmitée. Le premier chaton s'apretta à lui donner un coup de griffe dans le museau, quand tout à coup, un grand chat au pelage flamme s'approcha du groupe de chaton. Il poussa un rugissement à en rendre sourd un sourd, et les deux chatons, partirent en courant, la queue entre les jambes. Le grand chat s'approcha de Patte de Satin, et lui donna un grand coup de langue sur le frond, puis l'aida à se relever. Il lui sourie, et lui donna un petit coup de museau, pour lui redonner le morale. Mais le chaton n'avait pas le coeur à rire. Il regarda le guerrier dans les yeux, et lui demanda.

-``Papa, pourquoi moi, je suis aveugle, et eux, il on le droit de voir?''

Patte de Satin avait toujours eu une manière étrange de s'exprimer. Son père ne sembla pas surprit de ses paroles, et répondit, avec un sourire.

-``C'est par-ce que toi, tu est un aveugle au coeur pur. Ne crois pas ce qu'il disent, je suis sur que tu deviendra un guerrier exeptionnel.''

Le chaton regarda son père, une luere d'espoire illuminant ses yeux. Il lui demanda, sur un ton triste.

-``Mais comment vai-je pouvoir devenir apprentis, si je ne peut pas voir?''

Le guerrier sourir, et répondit.

-``Même si tu n'y vois pas, tes autres sens son plus déveloper que si tu les avait tous. Et toi, tu te sers de ta tête, et pas de tes muscles.''

Rassuré par les paroles de son père, le chaton reprit son petit jeu, content de voir qu'une personne serait toujours la pour l'aider. Même si il était aveugle, il deviendrait un redoutable guerrier, il en était certain.