[Pardon, j'ai hédité mon post au lieux de répondre au rp, donc il est plus là, pardon. ]


/HORS RP/Si tu pouvais ne pas raconter avec "je" et faire comme dans les romans de Herin Hunter ce serai mieux, sinon c'est parfait! /HORS RP/

Avec espoir, Colombe de la Paix remonta avec toutes ses forces. Heureusement, il était tombé sur son frère, la seule personne du clan qu'il connaissait bien. Il lui balança un tronc d'arbre pour grimper en haut. Soulagé, les griffes tordues, il remonta et atterri sur le sol ferme du territoire du vent.

Pendant qu'il attendait dans le ravin, Colombe de la Paix avait réfléchit à quelque choses. Il avait l'intention d'en parler avec son frère et il n'aurait pas pu mieux tomber pour le secourir. Une fois remonté, Colombe de la Paix inspira profondément et dis:

-Griffe, il faut qu'on parle.

Il regarda autour de lui. Ils pouvaient parler tranquilles.

-Griffe, je ne sais pas toi mais je ne me sens pas chez moi, ici. Tu as comme moi au courant des chats des clans qui sont partis pour les montagnes et se sont nommé respectivement les Tribus du Blizzard et de la Comète.

Il inspira profondément et poursuivit:

-Et bien, j'aimerais qu'on aille là bas, toi et moi. J...Je sais que ça ne remplacera jamais notre clan d’origine mais, je me sens mal ici, quand le vent souffle sur ma fourrure. Je préfère les souvenirs d'antan, où la neige accompagnait mes pas. Où les pains m'abritait. Où les aigles volait dans le ciel et les terrains de glaces était nombreux. Je voudrais revenir dans des montagnes. Il parait que c'est fantastique! De la neige abondante comme dans nos montagnes, jadis. Nous vivrons ensembles avec les autres. Pour arriver là bas, il faut traverser trois territoires hostiles : les terrier des blaireaux, la ville de Bipèdes et les geysers. Nous pouvons y arriver, nous le devons.

Il s'arrêta :

-Si tu ne veux pas y aller, j'irais tout seul. Ma décision et prise, j'irais là bas, avec, ou sans toi.

Colombe de la paix avait tout dis et attendais la réponse de son frère.

Malgré la chaleur insoutenable de la saison des feuilles vertes, je chassais. Tout le temps. Tout les jours. La chasse était mon seul passe-temps. En attendant de me faire des amis, je chassais, encore et toujours. Le tas de gibier du camps était de plus en plus garni. Les proies sont plus dodues, donc moins rapides. Aujourd'hui, j'avais attrapé deux campagnols et un lapin. Hier, quatre campagnols. Avant-hier, une pie et trois campagnols. En rentrant de la chasse, en allant déposer mes proies sur le tas de gibier, je remarqua qu'il y avait un faisant. Impressionnant ! Je me demande qui a bien pu attraper une telle proie. Enfin, je n'allais pas rester là toute l'après midi, à baver devant ce faisant. Je décida de retourner à la chasse, même si je n'avais pas tellement de choix. Je serai bien resté à me prélassé au soleil chaud de l'été, mais je ne voulais pas donner l'impression d'être un paresseux. Après tout, on a constamment besoin de gibier, malgré le léger surplus en été. Je retournai donc à la chasse. Toujours aussi fructueux. Épuisé par la chaleur, j'enterrai mes proies à proximité et me reposais à l'ombre. Je m'assoupis et le soleil déclinait déjà pour laisser place à la lune quand je fus réveillé par des miaulements et une odeur qui m'était bien familière : Colombe de la Paix. Je me releva d'un bond et me rua dans la direction d'où provenaient les cris et l'odeur de mon frère. Lorsque j'arriva au bord du ravin, je pencha ma tête par dessus le ravin et aperçu Colombe. "Colombe ? Que fais-tu ici ?" Je pencha alors une patte, faisans signe à mon frère de s'accrocher afin que je le remonte. "Tu me racontera tout sur le chemin du retour, accroche-toi !"

Du coup je fais un copier coller et tu répond à la suite, shiba.


/HORS RP/Si tu pouvais ne pas raconter avec "je" et faire comme dans les romans de Herin Hunter ce serai mieux, sinon c'est parfait! /HORS RP/

Avec espoir, Colombe de la Paix remonta avec toutes ses forces. Heureusement, il était tombé sur son frère, la seule personne du clan qu'il connaissait bien. Il lui balança un tronc d'arbre pour grimper en haut. Soulagé, les griffes tordues, il remonta et atterri sur le sol ferme du territoire du vent.

Pendant qu'il attendait dans le ravin, Colombe de la Paix avait réfléchit à quelque choses. Il avait l'intention d'en parler avec son frère et il n'aurait pas pu mieux tomber pour le secourir. Une fois remonté, Colombe de la Paix inspira profondément et dis:

-Griffe, il faut qu'on parle.

Il regarda autour de lui. Ils pouvaient parler tranquilles.

-Griffe, je ne sais pas toi mais je ne me sens pas chez moi, ici. Tu as comme moi au courant des chats des clans qui sont partis pour les montagnes et se sont nommé respectivement les Tribus du Blizzard et de la Comète.

Il inspira profondément et poursuivit:

-Et bien, j'aimerais qu'on aille là bas, toi et moi. J...Je sais que ça ne remplacera jamais notre clan d’origine mais, je me sens mal ici, quand le vent souffle sur ma fourrure. Je préfère les souvenirs d'antan, où la neige accompagnait mes pas. Où les pains m'abritait. Où les aigles volait dans le ciel et les terrains de glaces était nombreux. Je voudrais revenir dans des montagnes. Il parait que c'est fantastique! De la neige abondante comme dans nos montagnes, jadis. Nous vivrons ensembles avec les autres. Pour arriver là bas, il faut traverser trois territoires hostiles : les terrier des blaireaux, la ville de Bipèdes et les geysers. Nous pouvons y arriver, nous le devons.

Il s'arrêta :

-Si tu ne veux pas y aller, j'irais tout seul. Ma décision et prise, j'irais là bas, avec, ou sans toi.

Colombe de la paix avait tout dis et attendais la réponse de son frère.

Griffe de l'Est ne bougea pas. Il était bouleversé par la proposition de son frère. Renoncer à une loyauté promise il y a à peine quelques lunes ? Il ne savait pas ce qu'il ressentait. De la colère ? De la peur ? De la douleur, en étant déchiré entre la loyauté envers son clan et rester avec ce qu'il reste de sa famille, son propre frère ? Il ne le savait pas. Tout à coups la colère se mit à bouillonner en lui. Il tourna sa tête alors vers son frère, et cria:
"Tu es devenu fou ?! Renoncer à la loyauté pour assouvir ta curiosité ?!"

Il s'arrêta pour respirer. Son cri l'avait essoufflé. Il reprit:

"Tu ne te sens pas chez toi, mais moi non plus, tout simplement parce que nous n'avons plus de chez-nous ! Après tant d'année, le clan du Vent a été le seul clan à nous offrir son hospitalité, crois-tu réellement qu'aux tribus du blizzard et de la comète, ils feront preuves d'autant d'hospitalité ?! Et puis quand bien même j'acceptais, on va se tuer ! Les blaireaux sont plus gros que nous, nous ne savons pas ce qu'il peut y avoir dans la ville des bipèdes et les geysers nous achèveront ! Tu ne veux donc plus vivre mais survivre ? TOUT CELA PAR PURE NOSTALGIE ?!"

Il s'arrêta encore une fois pour contempler son frère.

"Arrête ton caprice, Colombe de la Paix. Si tu tente d'aller dans la montagne, je t'en empêcherai !"

Il soupira et baissa la tête.

Colombe de la Paix ne comprenait pas. Pourquoi? Pourquoi son frère avait-il réagit ainsi? Son frère l'avait déçu. Déçu de ne pas l'avoir compris. D'habitude, ils se comprenait. Mais là se n'était pas la compréhension qu'il avait vu dans le regard de son frère, mais la colère et des reproches. A présent, Griffe de l'Est avait baissé la tête et attendait une réponse. Mais Colombe de la Paix ne savait pas quoi répliquer. Il était effondré. Jamais son frère ne l'avait parlé ainsi. Pris d'une rage soudaine, il rugit:

-Mais c'est toi qui est fou! Comment peux-tu rester ici! Tu ne me comprend pas! Tu ne comprend rien! Je te demande, comment fais-tu pour aimer cet endroit? Je ne veux pas chasser le lapin! Je veux chasser l’écureuil, la souris et l'aigle!!! Je ne veux pas d'un terrain à découvert! Je veux des pains et de l'ombre qui couvrent le vent! Je veux retrouver les sentier caillouteux! Je veux retrouver tout ce que me donnait la montagne! Ce n'est pas de la nostalgie! C'est de l'envie! Je le veux. Tu comprend, ça? Je suis capable de me suicider! La prochaine fois je me jetterai dans ce ravin quand il sera au plus profond! Et tu crois que c'est facile pour moi? Tu as toujours était le chouchou-à-son-papa! Dans notre clan, tu était le favoris. Ton était grand et fort pour ton âge, alors que moi, j'étais petit et maigre! On se souciait de toi! Pas de moi! Je te propose notre chance de redevenir heureux! Toi tu me jette mon opportunité au visage! Tu devrai avoir des remords! Je m'en fiche! Tu ne pourras pas m'en empêcher! Tu veilleras toutes les nuits pour voir si je m'éclipse? Sauf qu'au bout d'une lune tu ne pourra plus! Tu tomberas de sommeil et moi je pourrais partir! Alors je te le dis, SI TU NE VEUX PAS ETRE LA BAS, TU NE M'AURAS PLUS! Je suis ta seule famille! Ta seule joie de vivre! Tu sais, je suis au bord du gouffre depuis longtemps et tu ne l'as pas remarqué! J'en ai marre! MARRE!!! Je veux partir! Et si tu veux tout savoir, tant qu'on y est, j'ai une compagne. Oui oui, c'est Lune Éternelle, la guérisseuse du Clan du Tonnerre. OOOOOOOOOOOOOOOOO! Oui je sais! Une chatte d'un autre clan! Et guérisseuse en plus! Tu vas t'évanouir? Hein? Parce que j'en est, RAS. LE. BOL. Je partirais sens toi! Je m'en fous! C'est mieux comme ça!
Maintenant, PARS D'ICI TOUT DE SUITE! VA T'EN! JE NE VEUX PAS DE TOI ICI! JE VEUX ETRE SEULE!
DEGAGE!!!!

Son pelage était gonflé et il faisait maintenant deux fois sa taille. Trop tard. Colombe de la Paix regrettait ses paroles. Mais Griffe de l'Est savait qu'il ne fallait pas le provoquer. Sa colère était immense. Plus encore que d'habitude, quand il était fâché. A ce moment, on ne l'aurait pas atribué son nom. Il s'attendait maintenant que son frère détale et qu'il les laissent. Lui, et ses idée noires...

Il resta sans bouger. Les insultes de son frère le touchaient. Il balbutia :

"Mais enfin, Colombe, toutes ces vies sacrifiés pour nous, qu'en fais-tu ?" Il s'arrêta. Repenser à tout son clan mort lui ré-ouvrait une blessure vive. Jamais il ne s'était disputé comme ça avec son frère. Et pourtant, lui aussi était encore en colère; Et puis il pesa le pour et le contre. D'un côté, le clan du vent ne lui convenait pas vraiment, et lui aussi devenait nostalgique. Mais de l'autre, c'est très dangereux, et qui plus est, il avait prêté serment de loyauté au clan du vent. Le choix était donc cornélien. Il réfléchit longtemps, Il se releva péniblement, il était encore indécis malgré son choix. Il se releva, donc, et annonça à son frère :

"Je t'accompagnerai, mon frère. Avec toi, j'irai vivre dans la montagne. Peut importe les obstacles. Et surtout, pardonne moi." Il s'arrêta, commença à marcher vers le clan, sous une lune très claire, puis reprit, le ton mélancolique :

"Tu te souviens de ce moment ? Ce moment, dans la montagne, où Père, mourant, nous baptisa guerriers, n'as-tu pas compris ? N'as-tu pas compris que c'est à ce moment là que Père nous a montré son amour ? Autant à moi qu'à toi ? Et lorsque Mère se sacrifia pour nous sauver des ces chiens, c'était là aussi qu'elle nous a prouvé son amour, autant pour moi que pour toi, tu ne l'as pas remarqué ?" Il avait la larme à l’œil. Il se retourna, et dit à Colombe de la Paix :

"Viens, on a bien mérité une nuit de repos." Et il commença à se diriger vers le camp du vent. Un vent léger caressa les plaines et Griffe de l'Est alla déterrer ses proies, sous un magnifique ciel étoilé d'été.

Hors-rp : Tellement drôle, ta colère x) Et aussi, ta compagne est une guérisseuse, elle peut partir, comme ça ?